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trucs et astuces pour le vol thermique...

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trucs et astuces pour le vol thermique... Empty trucs et astuces pour le vol thermique...

Message  Thierry le nabakou Sam 1 Juin - 20:22


salut tous,

J'essaye de collecter depuis un bout de temps des renseignements simples et efficaces sur ce sujet.
Voici un fichier que j'ai constitué au fur et à mesure avec des textes trouvés provenant de plusieurs sources sur le web.
Un peu long à lire, en français et en anglais, mais bourré d'indications intéressantes..

Bonne lecture ! alien


On va commencer simple (pas de théories , que du concret . La technique je l'aborderais après ) .
L'objectif :
Essayer de lancer dans la zone la plus propice pour tenir le plus longtemps .
On est dans son pré , nez au vent ( important ça ! ) avec son émetteur , fil d'antenne déployée ( très important ça ! ) .
Cette méthode est pour moi la détection indirecte , on verra que la détection directe est beaucoup plus simple à appliquer .
Le fil d'antenne est pour nous le premier outil d'évaluation , si on peu , on prends un ou deux autres en plus dans un rayon de 100 m autour de soit , ce sera d'autant plus facile ( biroute d'aérodrôme , drapeau , enfin tout ce qui bouge dans le vent ) .
On prends un repère dans le lointain pour l'axe du vent ( arbre , maison ) , ce sera à la fois le repère pour lancer et l'axe du vent constant .
On observe son fil de laine et on remarque des oscilations :
La masse d'air se déplacant autour de nous a déviée le fil d'antenne , nous indiquant la zone la plus propice .
Maintenant on sait si la pompe est à droite ou à gauche , le tout est d' en évaluer la distance par rapport à nous .
Ici intervient encore ce fil d'antenne car en se déplacant les ascendances font varier l'intensité du vent constant .
Là l'expérience du lanceur joue à fond avec cette aide précieuse il pourras déterminer la profondeur de cet air chaud et suave qui fera monter tout nos espoirs .
Tout ça c'est fait avec juste un seul outil , le fil d'antenne !
Si on utilise tout les éléments succeptible de nous venir en aide , la détection est d'autant plus simple .
Tout les éléments vous donneront une représentation de la masse d'air à courte distance .
Bien sur rien ne remplace l'expérience , il faut lancer et lancer encore .
Pas de panique , si vous loupez au début , ça finira par venir .

Nous allons entrer dans les détails .
Je ne parlerais ici que de la tranche d'air 0 , 200 m sol, au dessus c'est un peu différent .
L'air est un très mauvais conducteur de chaleur .
Pour qu'une masse d'air s'élève , il faut soit qu'on la dévie de sa trajectoire ( effet de pente )
soit qu'elle devienne plus légère ( l'air chaud est moins dense que l'air froid ).On parle ici de contraste " thermique ".

Seul le soleil avec ses chauds rayons assure ce transfert d'energie .
Maintenant il y a air et air .
Ce qui caractérise l'air c'est :
Sa température , sa pression et son humidité .
Pour que notre bulle s'élève , il faut chauffer une tranche d'air au contact du sol ,
lorsque celle ci aura accumulée suffisament de température le trop plein débordera et partira vers le haut ,
( remplacé imédiatement par de l'air plus froid ! ) un obstacle au sol produira le facteur déclenchant
( haie d'arbre , maison ou différence de couleur du sol ).

Les trois facteurs cité plus haut vont agir chacun de leur coté pour limiter ou augmenter le contraste thermique .
La pression est un facteur stabilisant ( plus elle est haute et plus l'air est stable ).
L'humidité est aussi un facteur stabilisant ( plus c'est humide et plus c'est stable ).
La température est le facteur d'instabilité .

Les pressions sont moyennes:
1 l'air est humide et la température douce , se sera surement une bonne journée ( peut être une averse ? ).
2 l'air est humide et la température chaude , orage en prévision , ça va être sport mais interressant .
3 l'air est plus sec , la température douce , là gros temps , les enclumes vont se libérer .

Quand les pressions sont fortes ( anticylone , plus de 1013 mBars ):
1 l'air est humide et la température basse , on reste à la maison (il y a surement du brouillard ) .
2 l'air est sec et la température basse , ( c'est l'hiver , climat continental ) , petit temps , pompes faibles ,
un régal pour régler sa machine finement .
3 l'air est sec et la température douce , prenez votre après midi , il va y avoir un créneau exploitable .
4 l'air est sec mais il fait chaud ( voir très chaud ), 20° à 8h , il faut voler le matin entre 8 h et 12 h et après en soirée vers 18 h à la restit .
Entre les deux mission impossible , l'air est surchauffé , les pompes sont étroites et mal organisées .

Les pression sont basses :
Quelque soit les autres paramètres il doit y avoir du vent fort . Seule la température doit motiver votre sortie .
Le vent est toujour un facteur agravant .

Les cumulus donnent souvent une indication d'instabilité , leurs formes et leurs textures peuvent vous guider .
Les ascendances dans les basses couches sont souvent étroites et pas très bien organisées et donc plus difficiles à localiser précisément .
Il ne faut pas préjuger des prévisions car le soleil envoie des rayons visibles mais aussi invisbles qui chauffent quand même le sol .
j'ai vu des matins de brouillard avec des pompes faibles ou le planeur semblait scotché au plafond .
Des journée couvertes uniformément ( cumulus étalés ) avec des pompes larges et faciles .
Des journées chaudes avec des cirrus sans le moindre mouvement vertical .

Comme Charles, mon indicateur principale est la dé-flexion du vent météo en fonction des phénomènes (pompes!) qui parcourent sont lit.

Nous pouvons imaginer de manière schématique que les bulles descendent un torrent et nous, nous somme au beau milieu de tout cela, il va donc falloir apprendre à nager et se servir des remous.


En pratique, sur le terrain il faut identifier une somme d'éléments.

1/ La direction et la force du vent, le mieux étant de se fier à une prévie météo locale et bien sur identifier l'orientation du terrain...il faut ensuite, se donner une valeur moyenne en axe et force, toute variation temporaire sera un indice précieux!

2/ Tout ce qui est générateur d'agitation de la masse d'air facteur d'instabilité, indispensable à la naissance d'une bulle. Donc, haie d'arbre, buissons, maisons, reliefs en tous genres et variation de la nature du sol, on peut même aller sur google earth pour avoir une vue d'ensemble de l'environnement dans lequel nous allons évoluer.

3/ Ouvrir grand ses yeux et ses oreilles, tous nos sens doivent être en éveille, notre peau nous indiquera dans quelle masse d'air, chaude ou froide, l'on se trouve...

Chaque détail a son importance, certain appellerons cela, du feeling, peut-être !?

Action !

Pendant les minutes qui précèdent le lancer, il faut observer tout ce qui vole, planeur, avion, oiseaux, trader à la société Générale, j'ai dit tout !
Il va falloir se forger une opinion sur des options de vol...

Juste avant le lancer, -1 min environ, regarder attentivement les dé-flexions de votre faveur sur l'antenne de votre radio, évaluer la température de la masse d'air et comment elle évolue, votre aide doit jouer aussi ce rôle à pleins.

Le mieux, étant de se répartir des zones d'observations.

Mon choix est donc guider par deux observations la direction du vent et sa force. si, ma faveur s'oriente à droite il est probable que la pompe est à droite et ainsi de suite, à gauche, zou! à gauche...
Si le vent faibli, elle doit se trouver sur moi, ou devant la zone de lancer.
Si le vent se renforce, il est probable qu'elle soit sous le vent du terrain.

Ensuite, il va falloir se décider sur une zone de vol précise, ne pas avoir de plan de vol étant souvent la pire des options.

En utilisant cette méthode, on se transforme peu à peu en "cueilleur" de thermiques...

Je vais vous décomposer schématiquement le départ et la maturation d'une ascendance .

Imaginez une étendue libre devant vous , un peu de vent , une belle après midi de prinptemps ensoleillé ( ça va de soit !).
La légère brise face à vous se raffraichie et modifie son axe , ( votre fil d'antenne vous renseigne ) au loin le petit buisson dans l'axe de la direction du vent apparent ne bouge plus .
L'ascendance va partir juste derrière vous .
Le tapis d'air réchauffé au contact du sol , est en trop plein , une masse d'air sans forme s'élève .
Pendant quelques secondes voir quelques minutes une colonne va grimper et se courbera avec le vent .
L'ascendance s'élèvera d'autant plus vite que la diffèrence de température avec l'air ambiant sera importante !
A une certaine hauteur elle se regroupera avec d'autres masses d'air pour fabriquer une colonne régulière ( si le vent , n'est pas trop fort ! ) qui finira par former ( souvent ) un petit nuage blanc et chahuté , une barbule .
Celle ci à force d'accumulation deviendra un gros choux fleur blanc avec une base plus sombre ( gris bleu ) , c'est un cumulus .
Ce cumulus est la base de l'ascendance mais ce n'est pas sa fin , c'est juste la condensation de la vapeur d'eau .
L'ascendance poursuit son ascension j'usqu'au moment ou les écarts de température entre l'air ambient et l'ascendance seront nuls , c'est l'inversion .
Cette inversion est une zone d'air qui n'évolue pas avec l'altitude , donc stable !
C'est un phénomène visible l'hiver quand on voit la fumée d'une cheminée stagner à queques dixaine de mètre au dessus du sol , elle ne peut pas s'élever plus haut .
Voilà c'est simple voir simpliste car sur le terrain c'est toujour très différent !
Vivement le prinptemps !

Cette forme de détection s'utilise toujours sous le vent ou trés proche de soi .
L'arbuste est dans l'axe du vent mais sous le vent .
L'ascendance est située dans son secteur et on resssent le flux d'air aspiré par l'ascendance à son départ .
A ce moment si l'air est toujours chaud , l'ascendance aspire encore , mais à l'instant ou l'air fraichi et se renforce , c'est qu'elle est partie ( faut vite lancer vent de cul pour la ratraper le plus haut possible et la suivre car elle va continuer à s'alimenter sous le vent )

Pour la détection proche et par vent faible à nul , c'est toujours le fil d'antenne qui fait loi !
Même cas de figure qu'auparavent .
Vent faible de face mais là , plus de vent , le fil d'antenne pend lamentablement ( vous êtes dans la situation de l'arbuste du cas précédent !) vous êtes au coeur du phénomène .
Lancez au vent mais revenez plustôt vers l'arrière car en hauteur elle à commencer à se décaler sous le vent ( lui , est toujours là !).


Pour la détection au vent c'est l'inprovisation !
Il faut lire tout les signes extèrieurs et surtout observer les zone favorables.

Prenons un exemple :
Manche du matin , 9 h , pas de vent , le couteau entre les dents ( dernier posé ) !
Les pilotes ont lancés au dessus du terrain pour s'échauffer mais rien de concluant .
On a bien observer le terrain et au fond loin il y a une haie d'arbres orientée à l'est ( face au soleil le matin ) on peu raisonablement espèrer trouver une zone ou l'air pourra vous permetre de vous maintenir .
Bip le troupeau reste au dessus et vous vous partez doucement jusqu'aux arbres et là , tient ça porte un peu et on fait les 3 ' là dessus !
Au deuxième lancé vous aurez plein d'amis !

tout à fait mais on est "terre à terre" l'appréciation n'est pas pareille si tu es dans le piège ou si tu l'observes du sol , de plus il ne faut pas oublier qu'on évolue dans les "basses couches" à la naissance de l'ascendance , et là c'est le plus compliqué ( à 200m c'est plus facile)

en partant du principe que l'ascention de la bulle crée une dépression (un mini cyclone).
voila ce que j'ai constaté par vent faible (de 0 à 20km/h) en plaine comme à la pente

--le vent diminue sans changer d'azimut : la bulle est au vent droit devant (elle freine le vent dominant)
--diminue mais dévie à droite : la bulle est au vent mais à droite
--cale : la bulle est sur ma tète
--accélère : bulle sous le vent
--accélère et dévie à gauche : bulle sous le vent à gauche


ça c'est une observation de pilote vol libre ou radiocommande , confirmée par l'observation des oiseaux...qui ne figure pas dans le manuel d'aerologie vélivole.

Quant aux oiseaux: ayant volé souvent avec les buses et autres rapaces (Dom par ex ) j'ai aussi bien partagé les ascendances jadis avec elles en planeur à 2000m sol qu' aujourd'hui avec mon Salpeter entre 20 à 100m sol. Il n'est pas rare que la buse guette le planeur F3K pour ensuite venir spiraler dans cette ascendance. Donc cela marche bien dans les deux sens.

Pour les pilotes de vol libre ou en F3K il suffit d'installer les "streamers" comme le décrit Paul Naton sur son DVD pour bien apprendre à visualiser et localiser les ascendances quand on est sur le terrain. Cela revient à installer aux quatre coins du terrain des tubes plastiques de ~3m de haut pourvu d'un fil plastique style poubelle (streamer) assez long pour visualiser la direction et vitesse du vent.

En les regardant on peut plus facilement interprêter les observations que André a très bien expliqué dans son message.

Pour déterminer les zones de portances, je me servais du "visuel": oiseaux et autres objet volant identifiés , mais aussi des branches des arbustes en falaise qui s'agitaient furieusement en la présence d'une pompe, alors qu'ailleurs, c'était tout calme...

L'on se servaient aussi de "l'olfactif"... Ben oui, quand on croise la route d'un thermique, on a les narines, remplient des odeurs qui viennent "d'en-dessous", on sent des odeurs de terre, de feuilles et autres "délices".

Pour finir, on ressent aussi très fortement les accélérations verticales, bien avant un variomètre, celui-ci n'étant finalement là que pour vérifier tout ça et optimiser la montée dans la bulle.

c'est bien sur variable, mais voici ce que j'ai constaté dans le vent fort :

- souvent le planeur dérive plus que la pompe donc en deux tours de spirale on s'en fait jeter.
- je vole donc avec du snap pour raccourcir les virages vent de cul et je rallonge volontairement les virages vent debout.
- de plus pour rester reactif et pouvoir serrer sans s'écrouler je privilégie la vitesse de vol d'ou certaines prises de pompes avec du snap sans volets. je mets les volets plus haut quand la pompe s'est bien formée.


Il n'y a pas de règle bien précise en la matière, mais tu dois conserver certains préceptes à l'esprit.

1/ Prendre une pompe dans les basses couches et avec du vent, c'est un combat de tous les instants, donc il faut être pilote et ne pas laisser le planeur faire.

2/ L'arme principale dans les basses couches, c'est la dérive et pour que la dérive fonctionne correctement il faut de la vitesse, d'où souvent un profil moins cambré dans ces conditions et l'utilisation du snap-flap (prof--->volets)

3/ Il faut lire le planeur et revenir dans les zones qu'il te marque, si le noyau est détecté, il faut le serrer, là on peut rajouter du flap, l'objectif étant de monter vite dans la pompe, car l'autre challenge c'est le retour au terrain dans ces conditions, pas toujours facile...

4/ La proposition de Rudy d'ovaliser face au vent est une bonne solution, dans la perceptive d'un retour sur la zone d'atterrissage, mais attention les choses vont très vite avec du vent fort et les décisions se payent cache, dans un sens comme dans l'autre.

5/ Le surf... Une bonne technique consiste à explorer les zones de part et d'autre de l'axe du lancé sans spécialement spiraler et ne le faire que si on est sur !


Le principe du snap c'est d'augmenter le creux de ton
profile donc plus de trainer. Le piège c'est dans mettre et avoir l'impression
qu'il monte plus vite dans la pompe

Sujet: Re: L'aérologie appliquée au F3K Lun 27 Avr - 0:10
Frank ,
la technique de rudy est au point et clairement expliquée
il garde une réserve de vitesse suffisante et quand il élargit le virage (face auvent)pour diminuer la cambrure il n'a pas de perte de portance brutale , il exploite aussi l'effet de rebond provoqué par l'augmentation du facteur de charge au moment ou il retrouve la zone porteuse...une vrai buse!
Citation:
- je vole donc avec du snap pour raccourcir les virages vent de cul et je rallonge volontairement les virages vent debout.
- de plus pour rester reactif et pouvoir serrer sans s'écrouler je privilégie la vitesse de vol d'ou certaines prises de pompes avec du snap sans volets. je mets les volets plus haut quand la pompe s'est bien formée.


Rudy,
quant le planeur dérive plus vite que l'ascendance , la bulle qui la provoque n'a pas encore décollé du sol (elle gonfle) tu décris une spirale elliptique (avec snap-flap ou volet dynamique) pour revenir dedans .
dès que la bulle a décollé , elle dérive à la mème vitesse que le planeur en spirale circulaire (volets sortis)
c'est moins évident au manche que en tapant sur un clavier , mais quand ça marche avec un lancer-main , quel plaisir !

- souvent la bagarre avec la pompe se fait dans les premiers instants ( les plus durs ) donc bulle collée , quand on est monté avec ( la bulle) on constate généralement qu'elle se calme ( donc le planeur aussi ) et on peut arreter et monter tranquillou aux volets seuls ( la colonne d'air chaud étant là bien plus large ou décollée du sol).







Thermals
Thermals start out simple enough. The sun heats the ground;
the ground warms the air near the surface; and the warm air
expands and rises. But that’s not the whole picture. Cool air
sinks displacing the warm air creating conductive circulation.
The resulting instability, while necessary for thermal production, creates turbulent swirls and eddies. As the thermal rises
it moves with any prevailing wind and pulls in surrounding
air. If that air is warm enough, the thermal will build in size
and strength with altitude. While we can think of a thermal
as a simple rising column of air, in actuality it is much more
complex. Complicating matters further is the fact that all this
air movement is invisible. Lift or sink – it all looks the same

• Strong Sun – Thermal soaring is fundamentally a solar-powered sport. Thermal activity peaks around mid-day and early
afternoon when the sun is high and has had time to warm the
ground.
• Warm Ground – Dark earth, buildings, parking lots, and
plowed fields all absorb solar energy and warm the air. The
mowed areas and dry weed patches that often surround our
flying fields can be pretty good thermal sources too.
• Cool Air – It is a misconception that thermals exist only on
hot days. Thermals are formed when the ground is warmer
than the surrounding air. Spring
and summer days
after the passing
of a cold front produce
great thermals. Winter soaring
can be fun too. When the air is well
below freezing it doesn’t take much surface
warming to create good lift. Don’t rule out hot days;
just don’t limit yourself to them. Remember that cool and
warm are relative terms.
• Light Winds – Another misconception is that strong winds
are desirable. While this may be true for slope soaring,
thermal soaring is best when the winds are light and variable.
Thermals move with the wind so it is difficult to stay in a
thermal rising at one MPH while being blown downwind at 20
MPH.
• Cumulus Clouds – These fluffy, cotton-like clouds are
usually a good sign. In fact, they indicate the top of thermals
where the humidity in warm rising air condenses into water
vapor in the cold air aloft.
• Launch High – Thermals coalesce and become better
formed and larger with altitude. It is easier to find workable
thermals at 400 feet or more above the ground. At 100 feet
finding workable lift is much more challenging (this is part
of the skill and fun of hand-launched gliders). At 2000 feet
thermals are often strong enough for full-scale gliders weighing 1000 lbs and spanning 50 feet.
• Motor Off – If you fly a motor-glider, climb high then shut
down the motor to search for lift. “Trolling” around the sky at
low throttle will only create confusion.
• Watch Your Plane – Keep a close eye on how your plane
behaves in flight. Flying by the edge of a thermal will often
cause one wing to blip upward. Turn into that high wing. The
Thermal Scout will soon confirm if you’ve found a workable
thermal or just turbulence.

Flight Speeds
So, now you can optimize your flight
speeds for better performance. Your glider’s stall, minimum
sink, and best L/D speeds all come into play. Stall speed is, of
course, the speed where your wings stop creating enough lift
to support the plane. Minimum sink speed is a speed, a little
faster than stall speed, where your plane will lose the least
amount of altitude over a given amount of time. Best L/D
(Lift/Drag ratio) speed, a little faster still, is the speed where
your plane loses the least altitude over a given horizontal
distance.
For effective thermalling you want to fly at the best L/D speed
while searching for thermals. This way you cover the most
area with the least altitude loss. Once you find a thermal and
begin circling, slow to the minimum sink speed. This gives
you the greatest altitude gain.
In a full-scale glider these speeds are documented and can be
compared to airspeed instrument readings. [For the full-scale
Schweizer 1-26E stall, min. sink, and best L/D speeds are 28,
40, and 53 MPH respectively.] In a model we must live with
estimates. Test fly your glider in calm air to get a feel for
these speeds. Add up trim to find the point where the plane
stalls. Now add enough down trim to achieve a glide speed
where you can do gentle turns and circle without stalling. The
controls may feel a little mushy and slow to respond, but the
plane should not feel on the verge of stalling. This is your
minimum sink speed. Now add a little more down trim until
you achieve a glide where the control response is more positive and good maneuverability is obtained. Do not go so far as
to cause a steep dive or tuck in. This is your best L/D speed.
For most pilots this speed is just slightly faster than their typical glide speed.
This allows you
to fly more quickly through areas of sink (downdrafts) and
cover more area for a given launch.
Slow to minimum sink speed and
circle in the thermal. Since most pilots tend to add a little
back pressure on the stick when circling, slowing to minimum
sink is a pretty natural instinct. This way you can leave the elevator trim at the best L/D speed and automatically slow while
circling then resume a higher speed on straight flight.

many glider pilots tend to fly too
slowly as they try to extend their flight time. This can result
in lingering in sink and actually shortening the flight. With
the Thermal Scout you know when you are in lift and when
you are not. This allows you to speed it up a little and search
more effectively.

Beware “Stick Thermals”!
Simply pulling back on the stick will make your plane rise.
Of course, since your plane will slow and eventually stall, this
altitude gain is short lived. This false lift is called a “stick
thermal”. You haven’t found lift, you are just trading airspeed
for altitude.
Thierry le nabakou
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il est des noootre !
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Message  pierre Sam 1 Juin - 21:40

par deux fois j'ai été voir qui était l auteur de se magnifique résumé, je fais du parapente depuis 1998 et s est la première x que je lis un résumé aussi parfait et succint de nos technique de vol, mais je ne parviens pas à comprendre si tu y interesses pquoi tu ne fais pas du f3k, moi je me suis resigné seul c est pas amusant
n oublie pas de venir gouter le Bortch demain soir
pierre
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Message  Christophe Sam 1 Juin - 22:37

hhaa le bortch c'était demain ...... on a du mal comprendre .....
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Message  Thierry le nabakou Sam 1 Juin - 23:38

Hello Pierre

ben en fait...

j'ai fait du parapente Wink

et je possède un planeur F3K, l'ELF de chez Vladimir model : 1m d'envergure pour 98 gr
Il vole fréquemment au dessus des dunes de Wissant et j'ai réussi quelques vols en lancé disque en plaine : pas souvent, le lancé ça va mais trouver l'ascendance j'ai pas souvent réussi ...
Ceci dit, c'est une chouette machine j'arrive à prendre du thermique au dessus de la plage en décollant des dunes.

trucs et astuces pour le vol thermique... Images?q=tbn:ANd9GcRgBGtgdnLd-z-BwtmW3uZYppAEeTWhWpyST0nsULwZwBYC5Xv_2A

PS, je ferai un max pour venir goûter le bortch demain ! alien
Thierry le nabakou
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